vendredi 23 septembre 2011

Working girl 2

Métro parisien, Neuf heures vingts-cinq.
Encore un changement et quelques stations, je suis définitivement en retard. La réunion risque d'être encore plus difficile que prévu...
J'envoie un sms à D., mon manager préféré, pour le prévenir.
Lui sera là bien sur, il ne s'arrête jamais de travailler. D'ailleurs je me demande quand il trouve le temps de baiser sa femme. Elle est pourtant très jolie.

Quarante-cinq minutes plus tôt. Appartement de Eve et James Fourhands.
Eve s'apprête à enfiler son manteau quand je la rappelle subitement à l'ordre :
"Tu n'as pas oublié quelque chose ?"
"Mais chéri, il est trop tard, tu m'as dit que tu avais une réunion"
"Nous avons surtout un contrat"
"Oui, mais nous pouvons très bien le faire demain"
"Voila plus d'une semaine que je ne t'ai pas baisée"
Autant dire une éternité, mais les circonstances leur avaient été particulièrement défavorables ces derniers temps
"Alors baise-moi"
La voix d'Eve s'était soudain faite plus douce
"Non. Tu sais très bien ce qui va t'arriver. Maintenant, va sur ce fauteuil"
Eve est tout sauf docile. Mais elle assume toujours ses jeux et ses fautes.
Résignée, elle se dirige donc vers le fauteuil et s'y agenouille.
Elle porte une jupe assez stricte et des chaussures à talons.
Je suis soudain pris d'une violente érection et je me souviens que le temps presse.
J'ôte rapidement ma ceinture et je baisse mon pantalon avant de relever sa jupe.
Eve se retourne alors et s'empare doucement de ma queue qu'elle prend ensuite dans sa bouche.
J'avais pris la précaution de me munir de lubrifiant, même si je l'ai laissé dans la poche de mon pantalon qui git sur mes chevilles, mais par coquetterie Eve préfère généralement éviter les artifices, et sans surprise elle a donc choisi de me préparer à l'inévitable par une méthode plus naturelle et bien plus agréable, même si elle est sans doute moins efficace.
Quand elle me juge prêt, elle se retourne sur le fauteuil et s'agenouille dans une position indécente et terriblement excitante.
Comme je le soupçonnais, elle porte des bas, et ses fesses ne sont protégées que par une mince bande de dentelle que je me contente d'écarter.
J'aime le moment où je prends possession du cul de ma tendre épouse.
Je commence par une poussée franche et directe afin de pénétrer en une seule fois le premier rempart. Il en résulte parfois un gémissement plaintif tandis que je m'enfonce de quelques centimètres. Je fais alors une pause jusqu'à ce qu'elle se détende, je la caresse, je lui susurre quelques paroles, douces ou au contraire très crues selon mon humeur. Enfin quand je la sens prête à m'accueillir je m'enfonce doucement mais aussi loin que possible.
Eve aime parfois me narguer en me disant qu'elle a connu des membres bien plus imposants que le mien, et que certains ont pourtant suivi le chemin étroit dans lequel je vais et je viens maintenant. Loin de me complexer, cet aveu a au contraire sur moi un effet stimulant : à chaque fois que je culpabilise un peu en me disant que je pourrais lui faire mal, je me dis qu'elle a déjà subi bien pire et je continue à abuser d'elle sans retenue.

Elle m'a aussi avoué qu'elle rêvait de me voir un jour empalé de la sorte, de préférence par un mâle bien monté et très endurant, je soupçonne d'ailleurs qu'elle serait prête à bien des sacrifices pour motiver un éventuel candidat.
Heureusement que je suis beaucoup moins attirant qu'elle pour un étalon car il est bien évident que je ne pourrai pas lui refuser ce petit plaisir alors qu'elle s'est ainsi donnée à moi si souvent.

L'heure continue de tourner pendant que je l'encule consciencieusement dans son uniforme de parisienne active. Les mâles qui fantasmeront sur elle aujourd'hui peuvent bander tant qu'ils veulent, leurs pensées lubriques resteront loin de la réalité.

Enfin je me répands à long traits dans les tréfonds de sa plus secrète intimité.

Eve se relève. Elle rajuste sa tenue, vérifie son maquillage, arrange une mèche rebelle et enfile son manteau tout en conservant un air parfaitement blasé, comme si tout cela était parfaitement naturel ou bien n'était jamais arrivé.
"Dépêche-toi chéri. Je vais être en retard, et toi aussi"
Dans quelques minutes nous serons dans le métro, un couple anonyme et banal que seules l'écoulement de ma semence et une légère brulure dans le fondement de ma bien-aimée pourraient trahir.

Un immeuble de bureaux parisien. Neuf heures quarante.
Je pénètre dans la salle de réunion un peu essouflé, un gobelet de café à la main.
Contre toute attente je suis accueilli par un D. souriant.
Nous sommes les premiers.
La tension retombe et je m'assieds pour siroter mon café. D. insiste pour revoir tous les détails du projet pendant que nous attendons les retardataires. Mais je ne l'écoute qu'à moitié...je repense à la lisière des bas noirs d'Eve en haut de ses cuisses blanches...à ma queue qui pistonne lentement ses fesses...à ses gémissements pendant que je l'encule.

mercredi 21 septembre 2011

Working girl 1

Ce matin là, Eve s'était levée plus tard que d'habitude.
Alors qu'elle achevait son maquillage en y ajoutant une touche de rouge à lèvre rosé, elle aperçut dans le miroir James, en train de la contempler. Ou plutôt, de contempler sa bouche, qu'il convoitait tant, relevée par cet artifice.

Elle sentait poindre en lui chaque matin une pointe de jalousie alors qu'elle se préparait, non pas comme il l'imaginait pour tenter de séduire d'autres hommes, mais simplement pour partir travailler.
Enfin prête, elle enfila ses chaussures et s'apprêtait à partir, lorsque James la retint par le bras et l'entraîna dans le salon.
Il l'enlaça.
Elle ne voulait pas arriver en retard au bureau et il le savait pertinemment. Aussi, il lui dit que ça ne serait pas long.
Il l'entraîna vers le fauteuil, et la força à se mettre derrière celui-ci en prenant appui sur le haut du dossier, ce qui la forçait également à s'incliner.

Il releva sa jupe sur ses hanches, et elle se retrouva ainsi exposée, en bas et culotte, à ses regards.
"Chaque jour, je te vois te préparer, je te vois partir apprêtée, superbe, et je sais que tous les hommes en profiteront, mais pas moi. Aujourd'hui, tu partiras en ayant le souvenir de ma queue en toi ce matin".
Elle l'entendit défaire sa ceinture, descendre son jean, et n'eut même pas le temps de dire un mot avant de sentir sa queue la pénétrer brutalement.
Il la baisa ainsi, elle lui appartenait totalement.
Cela ne fut pas long en effet. Lui fut soulagé de cette jalousie qui le rongeait, et heureux de savoir qu'aujourd'hui au moins, c'est lui qui aurait le plus profité d'elle.
Elle, malgré ses vagues protestations et son indignation feinte, était ravie de cet accès de jalousie et de cette démonstration virile de possession.
Elle prit le temps de se recoiffer et de se repoudrer.. Tout en sentant qu'elle gardait, sur son visage et au plus profond de son ventre, la trace de cet assaut romantique.

mercredi 14 septembre 2011

Working girl

Les hommes mariés à une femme active en milieu urbain souffrent fréquemment d'un étrange paradoxe.
Chaque matin, ils voient leur compagne enfiler une tenue aussi BCBG que sexy, se maquiller, se parfumer, se coiffer avec soin.
Après quoi, la belle qui est devenue parfaitement désirable leur pose une rapide baiser sur les lèvres avant de s'enfuir au bureau pour s'offrir toute la journée au regard lubrique et à la concupiscence de ses collègues.

Je sors de la douche, encore un peu ensommeillé...Eve est devant la glace, seulement vêtue de ses dessous...elle s'assure que sa bouche est parfaitement dessinée...

Un peu plus tard, dans la chambre, elle enfile des bas...puis une jupe...et je me demande combien de mâles vont dans les heures qui suivent chercher à deviner ce qu'elle cache...

Plus tard encore, elle est presque prête et sollicite mon avis quant au bijou qui va orner son cou...mais je ne peux m'empêcher de penser que la plupart des regards seront avant tout plongés dans son décolleté...


Quel époux amoureux supporterait chaque jour sans réagir une telle frustration ?

Il est arrivé que nos horaires de départ au bureau coïncident, et il m'est alors venu à l'idée de conjurer la malédiction.
Les récits qui suivent éclaireront nos collègues respectifs quant au motif de notre retard au début de certaines réunions matinales...

dimanche 31 juillet 2011

L'ascenseur

Un texte très ancien, dont la version originale a été écrite avec de l'encre sur du papier. Une technique presque oubliée de nos jours...

Tandis que l'ascenseur les emmenait en grinçant vers ce qui devait être le
lieu de son supplice, Elle se demandait encore une fois jusqu'où il serait
capable d'aller.

Certes, Elle l'avait maintes fois provoqué, faisant allusion aux livres qui
la troublaient ces temps-ci et ne manquant pas une occasion de souligner son
incapacité à se montrer cruel avec Elle. Il y avait bien eu quelques tapes
cuisantes délivrées çà et là lors de leurs récents ébats mais leur souvenir
s'était vite estompé et ces enfantillages ne lui aurait même pas permis de
rentrer comme novice à l'école de Sir Stephen.

Il mit un terme à ses méditations en demandant d'une voix douce mais déterminée :
"Tu as fait ce que je t'avais demandé ?"
"Oui"
Elle avait ôté sa culotte en se changeant avant de quitter son travail. La
réponse avait fusé, accompagnée d'un petit sourire à la fois gêné et malicieux.

Il ne rompit à nouveau le silence que lorsqu'ils entrèrent chez elle.
"Tu as cinq minutes pour régler tes petites affaires. Ensuite, viens te présenter"

Intriguée par cette curieuse expression, elle chercha en vain quelque réplique
spirituelle et ôta son manteau en le regardant s'éloigner vers le salon. Elle
se sentit soudain envahie par le trac.

Quelques minutes s'écoulèrent avant qu'elle ne hasarde un regard dans la pièce
du fond. Il avait allumé une cigarette dont elle soupçonnait, à juste titre,
que la fin serait pour elle synonyme de retard.
"J'arrive"
Lacha-t-elle avant de regagner prestement les coulisses.

Elle vérifia une dernière fois sa tenue; pull moulant, jupe écossaise et
collants foncés; puis, prenant son courage à deux mains se décida enfin à entrer en scène.

Elle s'adossa à la table et lui fit face juste à temps pour le voir écraser son mégot.
"Tourne-toi"
Elle obtempéra pendant qu'il se rapprochait.
"Maintenant, penche-toi en avant et appuie-toi sur la table"
"Pour quoi faire ?"
Elle n'avait pu s'empêcher, encore une fois, de tenter une manoeuvre de diversion.
Pour toute réponse, elle sentit son ventre se coller contre ses fesses pendant
qu'une main ferme la poussait vers l'avant.

Cette situation lui rappela instantanément cette soirée où, dans un moment
d'égarement, elle s'était laissée prendre ainsi, dans une position fort peu convenable
pour une femme élevée chez les bonnes soeurs. Elle avait ensuite vivement
protesté contre ce viol manifeste, mais elle était bien placée pour savoir que
ce jour-là, l'excitation l'avait largement emporté sur les bonnes manières.

Elle caressait l'espoir qu'il puisse renoncer à son sinistre projet quand elle
sentit ses mains s'insinuer sous la jupe et tirer vigoureusement le collant
vers le bas.
"Pas comme ça, cela ne se fait pas"

"Je n'ai trouvé nulle part de manuel officiel sur l'art de fesser une jeune
femme respectable alors j'ai improvisé ma propre méthode et elle me parait
excellente pour deux raisons"

Sa main caressait négligemment les rondeurs maintenant dénudées.


"La première c'est que ta peau est bien plus tendue comme ça et que les effets
seront donc amplifiés"

"Salaud!"

"La seconde c'est que même si j'espère bien te faire assez mal pour que tu
regrettes amèrement de m'avoir si longtemps nargué impunémment, la douleur
disparaitra très vite. Par contre, tu garderas le souvenir de cette posture pour
le moins embarassante et du fait que tu y as librement consenti"

"Justement! Je n'ai plus du tout envie"

"Nous avions un contrat, si tu renonces maintenant, je m'en vais sur le champ
et j'envisagerai de revenir le jour où tu m'appelleras pour me supplier de
reprendre les choses là où je les avais laissées"

"Je te hais"

"C'est celà oui, maintenant, si tu m'adresses encore la parole, que ce soit
pour demander pardon d'être une belle allumeuse"

"Tu rêves"

Il cherchait un prétexte pour commencer et cette ultime impertinence lui parut
tout à fait opportune.

Première claque sonore, suivie bientôt d'une autre, puis d'une autre.

"Arrête! Ca fait mal. Je serai sage"

Sentant que le chantage ne serait bientôt plus un carcan efficace face à
l'urgence de la brûlure, il se rapprocha et enserra sa taille du bras gauche.
Puis, afin de lutter contre la tendresse ce corps qu'il lui fallait brièvement
meurtrir, il se remit en mémoire quelques unes de ces piques acerbes dont elle
l'avait gratifié, mettant ainsi en doute sa capacité à être le mâle égoïste
qu'elle aimait parfois qu'il devienne. Il n'eût aucun mal à retrouver l'image
de ce visage angélique alors même qu'elle se laissait aller aux pires
provocations. Tout remord disparut promptement et c'est avec sérénité qu'il
entreprit de lui administrer la fessée qu'elle avait si souvent méritée (réclamée!?).

Elle se débattait de plus en plus vigoureusement, mais la main vengeresse
avait pu s'abattre une dizaine de fois avant qu'elle ne réussisse à se dégager.
En repensant à ces évènements, Elle devait admettre que, plus que le bras qui
retenait, c'est sa propre volonté à accepter le chatiment qui l'avait maintenue
en place aussi longtemps.

"Arrêtes!"

Un sanglot dans la voix indiquait que pour une fois, la protestation était sincère.

Oubliant un instant la jupe encore relevée et les collant gisant sur ses genoux,
elle vint se blottir dans ses bras. Enfin domptée, elle s'abandonna contre lui,
et, pour tout reproche chercha ses lèvres en quête d'un baiser.

Il chercha son regard et, son orgueil aidant, n'y trouva que de la soumission.

Mais, ce que les yeux embués de sa maîtresse oubliaient de dire, c'est qu'à cet
instant même, elle cherchait déjà les mots qui, une prochaine fois, sauraient
réveiller la bête profondémment tapie dans l'homme qu'elle aimait.

Un bref instant, elle se demanda ce qu'il pourrait bien inventer.

Bah. Il trouvera bien une idée.

dimanche 24 juillet 2011

Une soirée particulière

Son amant lui avait maintes fois parlé de ses expériences passées, avec d'autres femmes, dans des clubs échangistes.
Même si ces épisodes du passé avaient surtout débouché sur du voyeurisme, elle en était jalouse et aspirait à partager au moins une fois cette aventure avec lui.
Aussi, lorsqu'un soir d'hiver il décida de l'emmener dans cet endroit feutré, elle ne put refuser.
Passé l'examen d'entrée - conformément à ses instructions elle avait revêtu une petite jupe noire, un décolleté plongeant et des bas - ils pénétrèrent dans ce lieu si particulier.
Un petit tour au vestiaire et ils s'assirent dans les confortables banquettes qui jouxtaient le bar et la piste de danse.
Tout ceci semblait finalement assez classique au premier regard ; mais à y regarder de plus près, les femmes qui ondulaient sur la piste de danse dégageaient une sensualité inhabituelle. Elle admirait et enviait leur liberté sur cette piste, elle qui était plutôt de nature à se fondre par tous les moyens dans le décor et ne pas se faire remarquer. Secrètement, elle avait envie elle aussi de laisser tomber toutes ces barrières qui la tenaient liée depuis l'enfance.
Ils décidèrent ensuite d'aller explorer les lieux, de passer de l'autre côté de cette lourde tenture rouge.
Cette ambiance feutrée, ces draperies et rideaux... Elle se trouvait hors du temps.
Leur exploration les mena jusqu'à un attroupement de spectateurs; un couple était là, sous leurs yeux, en train de faire l'amour. Pour elle qui avait déjà bien du mal à regarder un film érotique ou pornographique en compagnie de son amant, le choc fut violent.
Mais elle ne put détourner les yeux. Son regard fut instantanément happé par cette scène. Elle entendait les cris et gémissements de plaisir de cette femme, les râles de cet homme, qui fut bientôt rejoint par un autre.
Alors qu'ils étaient debout au milieu de ces hommes et couples spectateurs, son amant se baissa pour lui ôter sa culotte, et glisser sa main entre ses cuisses.
Elle crût défaillir. Elle était trempée. Il l'embrassa tout en continuant à la caresser.
Ils décidèrent de continuer leur ballade dans ce dédale de couloirs... Ici et là, de nombreux recoins permettaient de s'isoler plus ou moins et d'assouvir toutes ses envies.
Elle avait été plus particulièrement attirée par une grande pièce, au milieu de laquelle trônait un grand lit rond, recouvert de velours rouge.
C'est là qu'il l'emmena.. De nombreux couples et hommes étaient déjà ici et là, en train de s'adonner à des plaisirs multiples.
Elle ne pouvait se résoudre, pour le moment, à s'exposer ainsi au regard des autres au milieu de la pièce. Ils se dirigèrent vers un des recoins de la pièce, où elle put s'étendre..
Son amant, empli de désir baissa juste assez son pantalon pour la prendre sur cette banquette.. Son excitation était telle que dès qu'elle sentit sa queue gorgée de désir franchir son intimité, elle ne put retenir un gémissement de plaisir.
Ils savaient pertinemment que, même dans ce petit recoin, ils seraient l'objet de regards... Elle trouvait cela terriblement excitant.
Après qu'il l'eut fait jouir ainsi, ils se levèrent et se mirent en quête d'une autre oasis de plaisir.
Ils se dirigèrent ensuite vers une pièce assez exigüe, bien trop pour abriter le moindre lit ou canapé.
Sur le côté se trouvait une grande croix de Saint André en bois, superbe, sur laquelle étaient fixés des bracelets de cuir. Dans ce décor tout droit sorti d'Histoire d'O, dont il lui avait si souvent fait la lecture, elle eut envie de se donner à lui.
Elle se plaqua contre la croix, face au mur et glissa ses mains dans les bracelets de cuir. Il retroussa sa jupe, et la prit ainsi.
Alors qu'elle frémissait sous ses coups de reins, elle sentit une main étrangère sur son corps.
Elle jouit instantanément, inondée par le plaisir et l'excitation.
Même si elle n'osait encore se l'avouer, elle aurait aimé que cette main pousse son exploration beaucoup plus loin...
Elle ne pouvait se résoudre à quitter ces lieux sans avoir fait jouir son amant, elle voulait que lui aussi garde un souvenir impérissable de cette soirée si particulière.
Elle l'emmena un peu plus loin, et le fit s'asseoir sur une banquette assez élevée, après avoir pris soin de libérer sa queue.. Elle se courba vers son ventre et la prit dans sa bouche. Pendant qu'elle le menait ainsi jusqu'à la jouissance, son amant se demanda ce qu'il se passerait si un homme choisissait ce moment pour se placer derrière elle, relever sa jupe et....
Elle n'avait aucun doute sur ce qui se passerait, elle en rêvait.

samedi 16 juillet 2011

Eveil

Je me réveille, tu es toujours là,
Endormi près de moi...
Je pourrais me blottir contre toi,
Plaquer mon dos contre ton ventre,
Mes fesses contre ta queue,
Comme tu aimes que je le fasse,
Je pourrais aussi glisser
Mes mains le long de ton corps,
Eveiller ton désir entre mes mains,
Le faire vivre entre mes lèvres,
Entre rêve et réalité,
Le plaisir te submergerait,
Jusqu'à l'explosion.

vendredi 15 juillet 2011

Parkings

Eve et son amant sortirent de la voiture, ils brulaient tous deux de désir mais hélas ils n'avaient que quelques minutes et le parking était bien trop peu discret pour une étreinte furtive.
Il s'approcha d'elle et l'enlaça, la repoussant dans le coin le plus sombre près du mur.
Elle sentit son érection, attendant ses prochains mots avec un peu d'appréhension.
"Tourne-toi"
Ce n'était pas exactement ce qu'elle craignait
"Pour quoi faire"
"Tourne-toi !"
La voix de son amant se faisant plus pressante
Elle obéit enfin et il vint se presser doucement contre son dos
"Caresses-toi"
"Tu es fou. On va nous voir"
"Si tu ne te dépêches pas c'est possible en effet"
Ce salaud savait très bien qu'elle ne savait pas résister à un proposition aussi troublante.
Elle glissa sa main droite sous sa jupe, puis franchit la barrière de dentelles
"Parle moi"
Elle adorait l'entendre lui dire à l'oreille les pires atrocités pendant qu'elle se donnait du plaisir.
"Tu te souviens, ce parking de banlieue que tu avais choisi spécialement parce qu'il est immense et pas toujours bien éclairé"
"Oui...Une mère de famille connait toutes les subtilités des grandes surfaces"
Répliqua-t-elle entre deux soupirs
"Nous nous étions garés dans un coin isolé, mais encore trop éclairé.
J'avoue que je n'étais pas tout à fait serein.
J'ai reculé mon siège.
Je surveillais nerveusement les alentours pendant que tu te penchais sur ma queue
Tu m'as fait jouir très rapidement et j'en ai été aussi déçu que soulagé"
Eve fut prise d'un léger tremblement, elle ne parvint à réprimer un gémissement trop sonore qu'en se retournant pour enfouir son visage dans les bras de son amant.

Elle se dégagea de son étreinte en jetant un coup d'oeil rapide à sa montre. L'humidité qui noyait son ventre la rendit soudain impertinente :
"Mais tu bandes, mon chéri...La journée va être longue"
Sur quoi elle posa un baiser rapide sur ses lèvres, avant de s'éloigner rapidement, sans attendre la réplique assassine qu'il avait trop tardé à lui asséner.
Mais très vite, sa belle assurance disparut quand elle commença se demander comment elle allait passer l'après-midi au bureau assise sur le torrent de son plaisir sans trop se faire remarquer.